Dans La "Cave"
Nous nous croisons souvent dans les couloirs. Au début je ne la trouvais que belle et sexy. Elle ne prêtait pas attention à moi, ou à peine et encore en baissant les yeux. Les semaines passent et maintenant nous nous regardons franchement. Les circonstances ne se prêtaient pas du tout à une rencontre à deux, jusqu'au jour où
. Nous sommes seuls dans l'ascenseur. J'ai un besoin d'elle immédiat. J'ai besoin de son corps contre le mien.
Je m'enhardie en posant mes lèvres sur les siennes. Elle ne devait attendre que ça. Nos bouches s'emboîtaient parfaitement. Nos langues faisaient plus que se caresser. Je réussis à stopper l'engin entre deux étages. Nous étions toujours embrassés. C'est elle qui a remis l'ascenseur en route, non pas vers le rez-de-chaussée, mais plus bas, vers la cave qui ne porte se nom que par sa situation.
Cette pièce contient des archives, une grande table, deux sièges et sans doute pour s'en débarrasser, un vieux matelas. Nous reprenons nos baisers: maintenant nous les accompagnons de recherche du corps de l'autre: je peux prendre en main un sein que je frôle, elle me caresse lentement le cou. Je descends l'autre main sur ses fesses. Elle tend son arrière train.
Tant qu'à faire je remonte sa jupe. Je peux caresser son postérieur à travers la culotte. Elle se serre contre moi qui commence à bien bander. Elle fait bouger son ventre pour me caresser aussi la bite. Nous ne nous connaissons que depuis quelques minutes et déjà nous sommes sur la pente du plaisir.
J'infiltre un doigt sous la culotte pour le passer entre les fesses. Lentement je le descends jusqu'au moment où j'arrive sur son illet. Je ne fait rien de spécial sinon que j'en caresse les bords. Je m'attarde beaucoup à cet endroit. Je vais le quitter quand elle me demande de continuer: cette simple caresse va la faire jouir. Je continue donc, et quand elle jouit, ce que je sens, j'enfonce mon doigt dans son anus. Elle gémit de plaisir, la tête en arrière.
Elle veux me rendre heureux en me rendant la pareille: elle arrive avec difficultés à sortir ma queue. Elle la prise dans sa main droite, la touche comme un gentil animal, avant de commencer un va et vient des plus inventif: elle tire ma peau jusqu'à mes couilles avec de la remontrer lentement, jusqu'à recouvrir mon gland, elle arrête tout juste un instant pour reprendre de plus belle. Que dire, sinon que je ne vais pas tarder à jouir dans sa main. Je ne suis pas son premier amant: elle est assez fine pour deviner que l'orgasme arrive. Elle arrête ce qu'elle fait pour s'accroupir et me prendre dans la bouche. Sa langue est aussi agile sur ma bite que dans ma bouche. Ses lèvres m'entourent complètement; elles vont et viennent jusqu'au moment où je lui dit que je vais jouir: elle continue à fond. Mon sperme part dans sa bouche. Elle fait plus qu'avaler ma semence, elle me lave la queue avec toute sa langue. Elle arrive à me garder en forme.
Nous sommes encore l'un contre l'autre. Je m'attache maintenant à la déshabiller et petit à petit je découvre tous ses trésors: une poitrine dure levée, une ventre plat, une petite toison à peine marquée, une taille fine sur des hanches large: bref le prototype de la Vénus. Je suis nu très vite: je crois même que c'est la première fois que je suis si rapide. Je reviens me coller à elle. Cette fois c'est moi qui passe une main entre ses cuisses qu'elle ouvre sans se faire prier. Deux de mes doigts vont à la rencontre de son bouton que je trouve très vite un peu bandé. Je la branle à peine: je ne voudrai pas qu'elle jouisse trop vite. Elle prend ma main pour que j'accélère mes mouvements. Tant pis, je fais comme elle veut: je sens ses crispations de jouissance et pourtant je continu à la masturber. Elle ne me fait pas arrêter, alors je continue avec cette fois mon autre main sur ses fesses, à la recherche de son anus que je caresse encore. Elle gémit de plus en plus fort: mets moi le doigt dans le cul: je vais jouir. En effet elle est traversée par un orgasme extraordinaire.
J'abandonne un moment son corps. Elle m'entraîne vers la table, s'y appuie par les fesses. Elle ouvre ses jambes: baises moi.
C'est facile de venir près de son sexe avec le mien. Je pose ma pine sur son clito, pour le caresser encore un peu. Je suis maintenant entre ses grandes lèvres pour arriver vers son vagin. J'entre dans ce con avec douceur. Elle fait plus que participer, elle anticipe mes mouvements. Elle me dit sentir les poils de mon pubis contre le sien: ça l'excite d'avantage. Je la tiens par la taille, elle s'agrippe à mon cou.
Son con se ferme et s'ouvre en cadence pendant qu'elle jouit encore. Je la fais tourner, penchée sur la table. Ses fesses sont justes à ma hauteur. Son seul mot: oui.
Je mouille ma queue. Je n'attends pas plus pour enfin mettre ma pine sur son cul. Je la tiens toujours par la taille. Je ne veux pas l'enculer trop fort. Elle ne demande rien: elle agit. Son cul s'ouvre seul quand elle arrive à se la mettre elle-même en poussant d'un coup de rein. Entre la table et ses cuisses il y a un léger espace qu'elle comble par sa main droite qui pour la première fois, en tout cas devant moi, se pose sur son bouton. J'ai moi aussi la place pour arriver juste à la hauteur de son con dans lequel je mets trois doigts.
Prise des deux cotés, elle est satisfaite en jouissant encore deux ou trois fois avant que j'envoie ma purée dans son anus. Sans doute fatiguée elle veut se reposer un moment sur le vieux matelas. C'est-ce que je pensais: elle ne se repose pas du tout, couchée, jambes bien écartées, elle se caresse le bouton avec sa main droite et passe sous elle la main gauche pour atteindre son cul dans lequel elle met un doigt. Elle me regarde bander à nouveau: tu vois je me branle comme une salope. Attends que j'ai joui pour venir ma la mettre encore;
Je profite à plein de la scène: ses doigts s'agitent longuement et rudement sur le clitoris et le doigt dans son cul va et vient.
Enfin elle tend ses bras: baises moi.
Nous nous rhabillons lentement. Dans l'ascenseur nous échangeons toujours de profonds baisers. Quand la porte s'ouvre nous nous tenons bien. En nous séparant elle me remercie du moment passé ensemble et me dit " à demain, même heure, au même endroit". C'était trop chaud pour oublier de jouir encore tous les deux.
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